Le rugissement était terrifiant. Les murs ainsi que le plafond de notre petite auberge semblaient se plier ainsi que la boucle sous la force de celui-ci. J’ai rarement été véritablement «effrayé» pendant tout notre temps sur la route, mais mon esprit courait alors que je me posais sur le dos en écoutant les dommages assourdissants de la tempête à l’extérieur. Ceci – je croyais à moi-même – est la Patagonie. Dans quoi nous sommes-nous entrés?

Ici, nous étions, au bout de la terre, à la merci de quelques-unes de la planète de la planète imprévisible et nous étions sur le point de passer les 8 prochains jours dans les montagnes avec rien de beaucoup plus qu’un peu passable La tente utilisée, un sac de couchage qui n’a pas été évalué chaud suffisant pour le climat à l’extérieur, ainsi qu’un équipement de plan budgétaire que nous avons choisi pendant notre séjour à Punta Arenas.

Configurer notre troisième tente de camping de location devant une roche erratique pour la tester. Tout le monde avait des trous!
J’ai été persuadé que nous allions devoir annuler. Torres del Paine au Chili a toujours été populaire pour avoir un temps capricieux, avec des rafales de vent si fortes qu’elles ramassent fréquemment des randonneurs et les claquent sur le sol… littéralement.

Mais la semaine que nous avons sélectionnée pour se présenter était une pour les livres. L’ensemble de l’arrière du voyage o que nous avions organisé pour prendre a été fermé, quelques jours avant notre arrivée, en raison de vents violents ainsi que des inondations. Les randonneurs étaient coincés sur les pistes ainsi que c’était un chaos absolu dans le parc.

Les paroles de Ruth, l’orateur de la sécurité des randonneurs satisfaisant que nous étions allés à la nuit précédente, sonnent toujours dans ma tête.

“Presque tous les décès qui se produisent dans le parc se produisent car les randonneurs ne se conformaient pas aux règles.”

Des morts. Avec un «s»? Pluriel?

Je n’ai pas dormi un clin d’œil cette nuit-là. J’ai roulé avec l’alarme à 5h30 du matin, toujours intimidé par le bruit du vent tonitruant, j’ai en fait déclaré une petite prière avant de réveiller Darice. Je ne suis en aucun cas une personne religieuse, donc ce fut un tout premier pour moi.

“Réveillez-vous Dariece … il est temps de commencer le O”

Ne manquez pas notre série de vidéos en 4 parties ci-dessous de Trekking & Camping à Torres del Paine!

Alors ça commence…

Nous avions déjà emballé nos sacs la nuit précédente, donc c’était un déploiement de base du lit, des dents propres ainsi qu’une situation de départ. Lorsque nous avons ouvert la porte à l’auberge et regardé à l’extérieur, il était encore venteux et pluvieux et que le froid mordait, mais les rafales de vent extrêmes s’étaient absolument éloignées.

Chèvres et dinos juste avant d’embarquer dans le bus pour Torres del Paine
Maintenant, c’était comme une tempête vraiment pauvre que nous avons grandi au Canada, plutôt qu’à un blizzard de force d’ouragan, qui est courant ici à la fin du monde.

Nous nous sommes satisfaits de nos copains Jarryd ainsi que d’Alesha de Nomadasaurus ainsi que monté à bord du voyage en bus de 2 heures au parc.

Alors que le bus naviguait sur l’autoroute, plein de randonneurs anxieux et extatiques, il y avait un sentiment que tout le monde dans ce bus n’avait aucun concept dans quoi ils se faisaient. Avec le recul maintenant, je peux dire avec certitude que c’était définitivement le cas.

CONNEXES: Le guide le plus grand pour trekking du chemin du circuit O dans Torres del Paine

Le ciel est clair

Après environ 1 heure dans le bus, à notre grande surprise, les nuages ​​épais, sombres et apocalyptiques ont commencé à se séparer. Tout d’abord, il y a eu de courts moments de luminosité qui blanchissaient la masse sombre, ainsi que des faisceaux de soleil percés de nuages, nous donnant de l’espoir que nous pourrions passer à travers cette expérience.

Au moment où nous avons atteint l’entrée du parc national de Torres del Paine, en quelque sorte, tout le ciel était bleu. Nous sommes descendus du bus avec d’énormes sourires sur nos visages. En un instant, je pourrais sentir la confiance grandir en moi.

Ciel ensoleillé à l’entrée de Torres del Paine
«Nous pouvons faire ça, Dariece!»

Son point de vue sur la réponse:

“Oh ouais. Nous avons ça… »

Le randonnée O Circuit

Le grand voyage typique à jouer à Torres del Paine est le W Trek, qui prend une partie de l’O. Photo A w avec une boucle reliant les bras extérieurs de la lettre, comme dans l’image ci-dessous:

Carte gracieuseté de www.torres-blel-paine.org

Le voyage dans lequel nous entravons, comme All Things Epic, a plusieurs noms. “The O” est le plus courant, mais il est également compris comme “le randonnée de circuit” ainsi que “le dos”. Il s’étend sur 132 kilomètres avec la profondeur de la Patagonie chilienne avec un peu plus que quelques petits «camps» ou zones de repos en cours de route.

L’arrière est là-bas. Il n’y a rien autour de kilomètres, juste des randonneurs, de la faune, des forêts, des pics enneigés ainsi que des paysages remarquables qui ont rendu ce parc national si célèbre.Même si j’étais terrifiée la nuit avant le trek, je suis tellement ravi que nous ayons fini par faire le voyage beaucoup plus difficile. Le W est beaucoup plus commercial avec de nombreuses tournées ainsi que toutes les commodités que vous vous attendez à découvrir en ville. Les gens du W étaient des randonnées avec des séchoirs, de minuscules jupes (sérieusement!) Ainsi que, dans certains cas, des bagages roulants – avec des porteurs apportent cet équipement.

L’arrière est un tout nouveau monstre. Puisqu’il n’y a pas de restaurants dans quelques camps (juste des sites de camp de base, diminuez les toilettes ainsi qu’une petite cabane à 3 murs pour cuisiner), la plupart des randonneurs sur le O apportent leur propre nourriture. Soit cela, soit ils embauchent un porte-porte (150 $ / jour) pour leur apporter.

Notre buggy de nourriture. Beaucoup de poids!

C’est pourquoi nos sacs étaient si ridiculement lourds. Nous avons eu 8 jours de nourriture entassés, ainsi que des fournitures de cuisson comme des pots, des casseroles, des assiettes, un poêle, du gaz ainsi que des ustensiles. Les tout premiers jours du trek, avant que nous ayons mangé quelques-unes de notre charge, nos sacs ont creusé dans nos épaules ainsi que les hanches ainsi que nous pourrions sentir nos dos mal sous la pression.

Nos packs étaient lourds, oui, nos dos étaient douloureux, oui, mais il y avait des sourires étendus en permanence sur nos visages. Nous étions tous les quatre extatiques. Ici, nous étions, à l’extrémité sud de la planète, en randonnée avec de grandes affaires ainsi qu’à un temps magnifique… nous n’aurions pas pu être plus heureux.

Profiter d’une pause au soleil
Ce tout premier jour nous a donné des conseils sur ce qui nous attendait. Commandant des pics gris poussèrent dans la couverture du ciel bleu poudre qui pendait sur nos têtes. Tout ce qui semblait plus grand que la vie. Le paysage était si parfait, si pittoresque, ainsi que le cristal de supprimer qu’il était totalement surréaliste. Il ne semblait pas que des paysages si grands et intimidants pourraient vraiment exister.

Le premier jour était «facile». Il ne nous était que de 5 heures pour passer de l’entrée du parc au tout premier camp, Serón, ainsi que bien que nous ayons eu un vent très puissant après avoir traversé une crête de 300 mètres de haut, le soleil a brillé toute la journée.

Nous avons mis en place notre tout premier camp sous la sécurité de quelques petites collines et avons préparé notre tout premier repas ensemble. Nous étions tous soulagés que nous étions vraiment sur la piste, ainsi que le temps, du moins pour l’instant, était de notre côté.

Étonnamment, l’état météorologique nous a résisté pendant les 8 jours entiers sur la piste. Nous avons eu quelques heures de douches légères, des vents assez forts parfois, mais pour la plupart, nous avions complètement un ciel bleu et en supprimant la météo… une véritable anomalie pour cette partie du monde.

Après cette toute première nuit, nous avons commencé à reconnaître que nous allions être sur le chemin avec les mêmes visages amicaux. Environ 12 d’entre nous avaient réservé tous les mêmes campings idéaux jusqu’à la fin du trek, un événement typique sur l’O.

Notre tout premier camp – Serón

Cela a indiqué que (comme l’a dit un randonneur britannique dans notre groupe), nous étions comme une auberge de voyage. Chaque nuit, nous mangeons, buvons un peu d’alcool, bavardé, ri et campé à côté des mêmes personnes.

Étant un groupe aventureux, chaque personne avait une histoire spéciale. Nous avons été tellement influencés par nos collègues randonneurs, comme nous le sommes souvent par d’autres voyageurs, ainsi que nous avons beaucoup appris d’eux.

Un couple avait arrêté leurs tâches pour voyager pendant un an (comme nous l’avons fait il y a 8 ans). Un autre avait laissé l’Allemagne il y a 2 ans à vélo. Ils sont montés d’Allemagne au Royaume-Uni, puis ont expédié les vélos à New York et avaient conduit toute la méthode jusqu’à la fin de l’Amérique du Sud au cours du programme de deux ans.

Los Perros Lake & Glacier

Bien que beaucoup de jours sur le «O» Dariece ainsi que je faisais du trekking seul, ainsi que nous aimions que nous puissions avoir les morceaux pour nous-mêmes, mais satisfaisant nos nouveaux copains à la fin de chaque journée difficile.

Nos 4 premiers jours étaient seulement à l’arrière. Nous étions passés par des glaciers, assis sur les plages des lacs, campé sous des sommets enneigés et avons fait une randonnée sur une passe de 1 200 mètres de haut. Au moment où notre chemin s’est reconnecté avec le T Trek, nous avions tous l’impression que nous avions vraiment accompli quelque chose d’incroyable.

Le col John Gardner à 1 200 mètres

D’une certaine manière, la fin du dos ressemblait à une ligne de surface pour nous. Nous n’étions que la moitié de la méthode fait tout le voyage depuis que nous avions encore 4 jours sur le W, mais nous nous avions tous l’impression d’être quelque part que les W, les W ne comprenaient pas.

Alors que les pistes se connectent, c’était LIke une satisfaisante de deux mondes. Nous, avec notre équipement sale, sans diffusion et épuisé, satisfaisant avec les W Trekkers, qui avaient des cosmétiques, des tongs ainsi que des packs de jour. Je peux simplement imaginer ce que les alpinistes ressentent quand ils descendent du sommet de l’installation de l’Everest pour voir tous les trekkers de 5 jours atteindre le camp de base.

Réflexions sur un lac glacier près de John Gardner Pass

Même si le reste du voyage a été une expérience absolument différente, nous avons toujours aimé. Le paysage était encore étonnamment à couper le souffle, et bien qu’il y ait beaucoup plus de gens sur les sentiers, cela n’avait pas d’importance pour nous. Nous étions ravis de faire du trekking dans le parc national de Torres del Paine.

Les Torres

La finale de cette incroyable excursion de 8 jours était à «The Torres». Une énorme formation rocheuse qui apparaissait comme trois doigts rayonnants s’élevant d’un lac émeraude. Au début, il semblait que nous allions manquer la vue entièrement, mais après avoir eu une condition météorologique si fantastique jusqu’à ce point, nous l’avons signé autant que «vous ne pouvez pas tous les gagner».

Mais il s’est avéré que notre chance était vraiment tenue. Après avoir attendu dans le froid amer, le vent ainsi que la pluie étant donné que 6h00 du matin, le ciel s’est enfin séparé. Les Golden Peaks se sont montrés aussi bien que ce qui était véritablement un spectacle à voir. Nous pourrions absolument voir pourquoi beaucoup de gens se sont réveillés si tôt pour arriver à cette partie du voyage pour le lever du soleil!

La grande finale. Les «Torres» (Torres »(Towers”) au lever du soleil

La ligne de surface

Le dernier jour, nous étions la deuxième paire de notre groupe pour arriver au point final. Nos copains Jazza ainsi qu’Alesha sont venus peu de temps après nous ainsi que Jazza a généreusement obtenu notre groupe de copains de trekking une ronde de bière à boire dans le parc pendant que nous attendions que le bus nous ramène à Puerto Natales.

C’était la fin. Nos visages ainsi que les corps ont été battus et douloureux, mais nos esprits étaient forts et nous nous délections tous d’un sentiment d’accomplissement extraordinaire. Nous l’avons fait. Nous avons non seulement survécu, mais nous avons prospéré disponible?

Nos impressions générales

Bien que le voyage ait été difficile, je pense que c’est absolument faisable pour toute personne ayant un niveau respectable de forme physique ainsi qu’une grande expérience de trekking. Il y avait un gars de 65 ans ainsi qu’un ménage avec 3 jeunes (âgés de 12 ans et 14 ans) dans notre groupe.

Pour nous, il est simple de dire que ce voyage est faisable, mais nous avons eu du beau temps. Si les dieux avaient pris la décision de faire tomber toute la colère de la Patagonie, nous chanterions un air différent. Je ne peux pas imaginer grimper la passe tout en étant battu par des vents de force coup de vent, ou dormir avec la nuit avec une tente de camping trempée ainsi que des inondations à l’extérieur.

La vallée de Frances est magnifique!

Nous sommes juste ravis que la condition météorologique soit de notre côté et que nous ayons pu prendre complètement plaisir à cette partie exceptionnelle du monde. Torres del Paine est très probablement l’endroit le plus pittoresque que j’aie jamais vu, ainsi que je viens d’un endroit naturellement béni dans l’ouest du Canada.

La Patagonie a fourni toutes ses promesses ainsi que certaines. Nous avons hâte de retourner dans cette partie du monde, peut-être ne plus ne pas nous lancer dans le O, cependant, pour découvrir d’autres parties de cet énorme million de kilomètres carrés de mer extérieure.

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Quoi emballer pour un trekking ainsi qu’un voyage de camping à Torres del Paine

Le plus grand guide de la randonnée ainsi que du camping à Torres del Paine, Chili

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